Passer au contenu

/ Logo du CERIUMFaculté des arts et des sciencesCentre d'études et de recherches internationales

Je donne

Rechercher

Navigation secondaire

Quatre nouvelles doctorantes boursières au CÉRIUM

Le Centre d’études et de recherches internationales de l’Université de Montréal (CÉRIUM) accueille cet hiver quatre doctorantes boursières en séjour de rédaction. Ces étudiantes bénéficieront d’une bourse de 5000$ et disposeront d’un espace de travail dans nos locaux. Elles auront l’opportunité de travailler au sein d’une communauté stimulante et propice aux échanges et à l’avancement de leurs projets de recherches.

« Revenir du terrain, c'est souvent un moment difficile pour les doctorant(e)s. Un programme comme celui-ci apporte un soutien précieux en créant une communauté où ils peuvent échanger et s'entraider, ce qui permet de progresser et de terminer le doctorat dans un bon esprit », explique la directrice scientifique du CÉRIUM, Laurence Deschamps-Laporte. Dans le même ordre d’idée, Rosalie Racine, l’une des boursières, mentionne qu’elle est « vraiment enthousiaste à l’idée de rejoindre le CÉRIUM, surtout pour développer un esprit de communauté et sortir de [son] cocon académique et intellectuel pour connecter avec d’autres chercheur(euse)s et d’autres disciplines. » 

Découvrez nos boursières de la session :  

Sanjida Amin est candidate au doctorat au Département de science politique de l’Université de Toronto. Elle est également boursière du Centre Trudeau pour la paix, les conflits et la justice, ainsi que récipiendaire des bourses d’études supérieures du Canada Joseph-Armand Bombardier. Ses recherches portent sur l’impact de la rivalité interétatique sur les processus de guerre civile, tels que les négociations de paix et la structure organisationnelle des groupes rebelles.  

Rosalie Racine est candidate au doctorat sous la co-direction de Deborah Barton (Université de Montréal) et Fabien Théofilakis (Université Paris 1 Panthéon-Sarbonne) et est titulaire d’un baccalauréat et d’une maîtrise en histoire de l’Université de Montréal.  Sa thèse s’intéresse à l’impact qu’ont eu les transformations judiciaires sur les conceptions des féminités alliées et allemandes mobilisées par les tribunaux d’après-guerre en Allemagne de l’Ouest (1945-1965). 

Garance Robert est candidate au doctorat en science politique à l’Université de Montréal et possède un master en sciences sociales de l’EHESS. Son étude doctorale s’intéresse aux usages et interprétations des droits par les défenseur(e)s de droits humains au Nicaragua et au Guatemala, dans une perspective comparée. Elle est également coordinatrice de l’Équipe de recherche sur l’inclusion et la gouvernance en Amérique latine (ÉRIGAL). 

Finalement, Marion Zahar est candidate au doctorat en science politique à l’Université de Montréal. Elle s’intéresse aux dynamiques contestataires au Moyen-Orient et plus précisément au Liban. Sa thèse concerne spécifiquement le mouvement libanais de la Thawra et examine ses conséquences en se concentrant sur les expériences des nouveaux députés issu(e)s de la contestation. Elle est également coordinatrice du Centre d’études sur la paix et la sécurité internationale (CEPSI). 

Nous leur souhaitons une expérience enrichissante au CÉRIUM !