Méthodes transparentes, pré-inscriptions et réplications en science politique
Conférence organisée par la Chaire de recherche du Canada en démocratie électorale
De nombreuses disciplines des sciences sociales sont confrontées à une « crise de crédibilité ». En réponse à de telles crises, le mouvement de la science ouverte promeut des pratiques de recherche plus transparentes. En science politique, il existe une tendance claire vers une recherche plus transparente et reproductible. De plus en plus de revues exigent le pré-enregistrement des travaux expérimentaux et quelques revues publient déjà des rapports enregistrés. Compte tenu de ces changements rapides, cette table ronde attirera l'attention sur la nécessité d'une recherche transparente et reproductible, et parlera des meilleures pratiques et des moyens de mettre en œuvre les recommandations du mouvement de la science ouverte. Les participants à cette table ronde ont une vaste expérience de la pré-inscription et des rapports pré-enregistrés eux-mêmes, pour le travail expérimental et d'observation.
Contactez mehmet.ali.semih.cakir@umontreal.ca pour obtenir le lien de zoom.
Aaron Erlich est un professeur adjoint au Département de science politique de l'Université McGill, où il est membre du Centre d'étude de la citoyenneté démocratique et membre fondateur du Centre pour la science des données sociales et culturelles.
Amélie Godefroidt est chercheuse postdoctorale au Département de sociologie et de science politique de l'Université norvégienne des sciences et technologies (NTNU).
Alexander Wuttke est chercheur au MZES (Centre de Mannheim pour la recherche sociale européenne) à l'Université de Mannheim.
Avec la collaboration de :
- CÉRIUM
- Montreal Workshops Methods
- Chaire de recherche en études électorales
- Centre pour l'étude de la citoyenneté démocratique