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Le CÉRIUM accueille sa cohorte de boursier.e.s pour l’automne 2023

Cette année encore, le CÉRIUM accueillera 11 étudiant.e.s en séjour de rédaction doctorale. Dès cet automne, 7 doctorant.e.s occuperont les (nouveaux !) locaux du Centre d'études et de recherches internationales de l'Université de Montréal (CÉRIUM) et ceux du Centre d'études sur la paix et la sécurité internationale (CEPSI). Venu.e.s du Québec et de l’Europe, ces étudiant.e.s auront l’opportunité d’enrichir leur parcours doctoral auprès d’un.e superviseur.e affilié.e au CÉRIUM qui encadrera leur séjour, de participer à des ateliers de rédaction et de présenter l’avancée de leurs recherches durant le semestre.


« Notre objectif est de leur offrir un endroit propice à la rédaction, de favoriser les échanges avec la communauté du CÉRIUM et de briser l'isolement », explique notre directrice académique, Christine Rothmayr. « Il s'agit aussi d'une excellente occasion de développer leur réseau de contacts », ajoute le directeur du CEPSI, Théodore McLauchlin. 

 

Nous leur souhaitons la bienvenue et un excellent séjour au CÉRIUM !


Découvrez qui sont nos boursier.re.s : 

Eduardo Álvarez-Vanegas est candidat au doctorat en sciences politiques au Center for the Comparative Study of Civil War à l'université de York, au Royaume-Uni. Ses rechereches portent sur la fragmentation et la cohésion des organisations armées non-étatiques, les processus de paix, la violence politique et les méthodes ethnographiques. Dans sa thèse de doctorat, Eduardo examine les factions dissidentes des Forces Armées Révolutionnaires de Colombie - Armée du Peuple (FARC-EP) qui ont émergé lors des négociations de paix avec le gouvernement colombien en 2016. Il sera encadré par Theodore McLauchlin et est également boursier de l’EPICC.

Maxine Both est doctorante à l’Institut universitaire européen (IUE) de Florence, en Italie, et titulaire d’une maîtrise en sciences politiques de l’Université McGill (Montréal). Ses recherches portent sur le rôle de la société civile et des activistes dans le soutien aux migrants détenus dans les centres de détention des immigrants au Canada et en Italie qui est financées par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH) et le Fonds de recherche du Québec Société et Culture (FRQSC). Maxine sera supervisée par Karine Côté-Boucher durant son séjour.

Soheila Ghaziri est candidate au doctorat en histoire à l’Université de Montréal, sous la direction de Laurence Monnais et Dyala Hamzah. Sa recherche porte sur la santé au Liban et en Transjordanie durant l’entre-deux-guerres. Soheila s’intéresse particulièrement aux différents acteurs de la santé dans ce contexte: les médecins locaux, les missionnaires, les autorités mandataires et les experts issus d’institutions supranationales. Elle sera encadrée par Alex Tipei

Merve Erdilmen est candidate au doctorat en sciences politiques avec spécialisation en études de genre à l'Université McGill. Ses recherches portent sur les organisations dirigées par des réfugiés et leurs approches de l'égalité des sexes au Moyen-Orient. Sa thèse vise à comprendre comment divers acteurs, notamment les organisations internationales, la société civile, les organisations dirigées par des réfugiés, la population locale et les municipalités, mettent en œuvre et pratiquent les normes mondiales en matière de genre en Turquie. Merve sera sous la supervision de Laurence Deschamps-Laporte.

Brett Manzer est candidate au doctorat en science politique à l'Université Laval, titulaire d’une maîtrise en science politique (McGill) et d’un baccalauréat en affaires internationales (Vesalius College). Sa recherche porte sur les relations internationales des entités sous-étatiques, autrement connues comme la paradiplomatie. Sa thèse Closing the (Para)diplomatic Gap? utilise l'analyse qualitative comparative et les entretiens d’élites pour identifier la (non)occurence de la paradiplomatie et ses conditions causales. Brett aura l’occasion de travailler avec Frédéric Mérand.

Sarah Munoz est candidate au doctorat en science politique à l’Université de Montréal, et titulaire d’une maîtrise en science politique (Université de Montréal) et d’une maîtrise en relations internationales (Bristol University). Spécialisée en politique environnementale, ses recherches portent sur la construction politique de l'adaptation et des (im)mobilités liées aux changements climatiques. Sa thèse analyse l’impact des intérêts, des idéologies et des politiques d’infrastructures sur l’adaptation des populations vulnérables aux États-Unis, en particulier la manière dont ils façonnent leurs capacités et leurs interprétations du risque climatique. Sarah rédigera sous la supervision d’Erick Lachapelle.

Véronique Pronovost est doctorante en sociologie et en études féministes à l'UQAM. Elle s’intéresse à l’antiféminisme conservateur aux États-Unis et au Canada. Plus spécifiquement, ses recherches doctorales portent sur le mouvement contre l'avortement aux États-Unis. Elle est membre de divers groupes de recherche dont le Chantier sur l’antiféminisme du Réseau québécois en études féministes, le Collectif de recherche Action Politique et Démocratie ainsi que la Chaire Raoul-Dandurand. Véronique sera supervisée par Pascale Dufour.