Experts en : Droits de la personne
BENYEKHLEF, Karim
Professeur titulaire, Chercheur
- Affaires internationales
- Commerce international
- Cyberjustice
- Démocratie
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- Droit public
- Gouvernance
- Modes alternatifs de résolution de conflits
- Mondialisation
- Normativités
- Sécurité
- Théorie du droit
- Vie privée
- Technologies de l'information
- Droit des technologies de l'information et de la communication
- Droit des technologies de l'information
- Commerce électronique
- Modes de résolution des conflits
- Vie privée et Internet
- Droits de la personne
- Droits et libertés de la personne
- Système judiciaire et droit international (bonne gouvernance, droit de la coopération internationale)
- Droit des technologies de l'information (vie privée, liberté d’expression, noms de domaine, commerce électronique, résolution en ligne des conflits)
CAOUETTE, Dominique
Professeur titulaire, Chercheur
- Asie du Sud-Est
- Philippines
- Droits de la personne
- Régionalisme
- Coopération internationale
- Transnationalisme
- Violence politique
- Action collective
- Mondialisation
- Mouvements sociaux
- Enjeux environnementaux
- Développement humain
- Thaïlande
- Indonésie
- Malaisie
- Asie orientale
Au cours des dernières années, je me suis consacré à l’étude du rôle des acteurs non-étatiques au sein de la politique mondiale. J’analyse leur influence sur les dynamiques et les institutions politiques tant nationales qu’internationales à travers trois champs d’investigation :1- l’économie politique des ressources naturelles au sein des pays du Sud, 2- le développement et la coopération internationale, et 3- les relations internationales et transnationales de l’Asie du Sud-Est.
Le premier champ vise les enjeux de pouvoir et d’équité socioéconomique en lien avec le contrôle et l’exploitation des ressources naturelles dans les zones rurales périphériques. Empruntant une démarche d’ethnographie politique, je déconstruis les processus d’accaparement des ressources,les liens entre investissements étrangers et domestiques, et les dynamiques de résistance des populations touchées qui influencent les institutions politiques. Le deuxième champ porte sur le développement international et la coopération internationale, en mettant l’accent sur le rôle des acteurs non-étatiques (organisations non-gouvernementales, mouvements sociaux transnationaux et réseaux d’organisations populaires). Je mets en évidence, notamment que différents mouvements sociaux et think tanks de la socité civile se positionnent en dehors des paradigmes dominants et se réclament d’une mouvance altermondialiste. Le troisième champ s’intéresse plus spécifiquement aux Philippines et aux relations internationales de l’Asie du Sud-Est. J’y étudie d’abord la structuration des relations entre les États de la région — en particulier à travers l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est —, ainsi que l’impact respectif des grandes puissances.
COENGA-OLIVEIRA, Danielle
Professeure adjointe, Chercheuse
- Théories féministes
- Genre et politique
- Colonisation et décolonisation
- Sexualités
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- Femmes et politiques
- Citoyenneté
- Démocratie
- Droits de la personne
- Coopération internationale
- Amérique latine
THÉRIEN, Jean-Philippe
Professeur titulaire, Chercheur
- Coopération internationale
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- Relations internationales
- Relations Nord-Sud
- États-Unis
- Amérique du Nord
- Droit et politique
- Consolidation de la paix
- Gouvernance mondiale
- Sécurité internationale
- Paix et sécurité
- Développement durable
- Politique américaine
- Canada
- Droits de la personne
L’essentiel de mes recherches porte sur la coopération internationale. Je m’intéresse à ce phénomène-là à travers ses manifestations à la fois globales et régionales. Mon travail sur la coopération globale s'est par exemple penché sur le rôle que jouent les Nations Unies dans le développement des pays du Sud. Sur le plan régional, je m'intéresse notamment à la dynamique de la coopération inter-américaine.
Deux idées directrices marquent l'ensemble de mes recherches. La première, c'est que les institutions internationales exercent une influence qui est souvent sous-estimée sur le cours des relations internationales. La deuxième, c'est que les valeurs qui animent les acteurs politiques (qu'il s'agisse d'organisations internationales, de gouvernements ou de simples citoyens) façonnent leur approche de la coopération internationale.